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Le badminton à Boulogne-sur-Mer
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4è journée

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C’est au pied du mur qu’on voit la voiture broyée

mercredi 21 février 2007, par Joss

Pour celui qui vient de Croisilles, la route de Verquin passe par Neuville-St-Vaast, Vimy, Souchez, Notre Dame de Lorette, autant de lieux jonchés de croix et de tombes témoignant des massacres imbéciles de la première guerre mondiale. Et même si on a le cœur serré en traversant ces communes martyres, on n’en oublie pas moins les véritables objectifs de ce parcours qui fout les boules : réaliser le hold-up parfait.

 On entre dans la banque sans faire TOC, TOC,TOC.

A l’issue des trois journées de championnat, nous comptons cinq victoires pour trois défaites, ce qui nous met à la sixième place avec 10 points. Devant nous trois équipes à 11 points et deux équipes à 13. Nous rencontrons trois de ces cinq équipes. Notre destin est entre nos mains, si nos adversaires ont des blessés ou des malades, on peut leur faire le coup de Madame et Monsieur Jetatête ont une fille et un fils : Janique et Jasper. Comment ça c’est vulgaire ?

 Leforest... en tungstène

Pour situer un peu le niveau de nos adversaires, il faut savoir que l’année passée ils évoluaient en D2. Les joueurs numéro 2 débutent, c’est Ricou qui s’y colle (son grand retour après cette horrible blessure qui nous a coûté cher lors de la deuxième journée, et le début de la première). "Blitz-Ric" expédie son adversaire sans coup férir en deux sets secs, même très secs les sets. Bon retour parmi nous mon bon Ricou. Charlotte se cogne un mannequin débutant, c’est-à-dire une nana un peu en dessous de deux mètres au garrot, mais pas encore sous cocaïne, parce que c’est pas grâce à sa vivacité que cette grue va gêner Charlotte. Non c’est son allonge extraordinaire qui empêche notre digne représentante d’imposer son jeu dans le premier set. Dans le second, Charlotte met toute sa volonté de guerrière, on l’imagine aisément d’ailleurs, quelques millénaires en arrière, la foulée ample, le lance-sagaïe armé dans une main, un gourdin dans le dos à la chasse à l’autruche, mais cette dernière parvient à lui échapper et emporte la décision à deux points d’écart. Rageant, mais c’est l’essence du badminton. Et pour tant Dieu sait qu’elle est encouragée, comme toute l’équipe d’ailleurs, ce qui m’a même valu une pseudo réflexion d’un leforestier "c’est pas le championnat du monde quand même !". Ce en quoi il a raison, pourtant je gueule aussi devant un championnat du monde - je suis un gueulard polyvalent - mais rien ne vaut de gueuler pour encourager des potes. Il devrait essayer pour voir. Le pire c’est que Charlotte est tellement énervée contre elle-même, qu’elle émet l’idée d’arrêter le bad ! J’vous jure...

A ce moment-là Patrick achève son premier set qu’il remporte, ce qui n’est pas dans ses habitudes, parce que c’est un diesel le Patrick, il est même confiant pour la suite. Mais Leforest cache bien son arbre... (je peux pas m’en empêcher, désolé) euh... son jeu, vu que Patrick, tout prêt de reporter son match, concède le deuxième set, et du coup son adversaire relancé dans la partie remporte la victoire dans le troisième ! Enorme, du jamais vu ! C’est sûr que Patrick sort de blessure, et les tendons au bad, c’est pas les fractures ouvertes du foot, ça se répare pas par magie, Djibril si tu nous lis... Et Guillaume ? Bin Guillaume affronte un numéro 3 qui pourrait aussi bien être un numéro 2, en même temps Guillaume pourrait être un numéro 1 vu sa classe et son abattage. Malgré ça il doit se battre "Iron, like a lion, in Zion", pour arracher le premier set à son adversaire, à qui il laisse le gain du deuxième set. C’est du badminton de rue, et le troisième set atteint des sommets d’intensité, il y a vraiment grosse opposition en face, mais cette année Guillaume a appris à ne rien lacher, et il emporte la décision en favori, surtout qu’il est au milieu d’une gastro.

Pierrick et moi constituons le double homme, sur la feuille je devais jouer avec Jim, mais Pierrick me tanne depuis un mois pour partager ma science du double en compét’. Je cède à la camaraderie face au résultat, j’ferai jamais un bon PDG, si tenté qu’il en existe des bons PDG, ce qui nous renvoie à la notion de bon. Qui est bon, qui ne l’est pas ? Sûrement pas nous deux en double, parce que si le premier set est très disputé (en fait on prend 4 points de retard au début du set, que nous ne sommes pas parvenu à combler), le second est bâclé, j’peux pas mieux dire. On voit leur point faible, mais à force de vouloir le jouer, on oublie tout le reste. Du coup Leforest nous mène trois points à deux. Reste le double mixte Marie-Laure et Jim pour ne pas annihiler tous les espoirs fondés cette saison.

Le premier set est dantesque, Marie et Jim redorent le blason du double mixte, mais en face leur adversaire sert admirablement faux, ses services sont tellement au dessus de la ceinture, qu’ils lui remontent jusqu’au menton. C’est un Ricou indigné par la concession du premier set qu’il lui fait remarquer à grands coups de batte-minton (ouf, ouf, ouf), et le gars sans se démonter - j’te jure ces Leforestois ! - nous apprend que c’est légal, parce que c’est difficile à évaluer, bin merde ! pourquoi on ferait pas des services directement smashés, on va pas se lancer dans les dérives tennistiques tout de même ? Grâce à ces services limite, à la confiance engrangée par le gain du premier set, les Leforestiens mènent de bout en bout le deuxième set, arrive le point de match, vingt dix-huit service à suivre. Et le gain de la rencontre. Toute la puissance mentale du banc des supporteurs se met en branle, une telle énergie ne peut être contenue, c’est pour ça qu’il y a des hurlements de temps en temps, pour évacuer le surplus de pression et dévie la concentration du serveur maudit, Flaf-mol fait le volant au sortir de sa raquette, BLAK-A-BOOM hurle-t’il lorsqu’il percute celle de Jim, Graaa-OURRRKKK-ALEL-VOC hurle-t’on tous en cœur lorsque le VOC sauve ce point. Et Marie et Jim ne s’arrêtent pas là, et tout leur mental, leur physique et leur technique s’écoulent en eux comme l’ambroisie dans le corps des Dieux (ou comme la bière dans un gosier desséché par deux heures de bad un vendredi soir). Si tu veux que je supprime la phrase entre parenthèses tape 1. Et non seulement ils sauvent encore un volant de match, mais aussi ils marquent le point du set quand enfin il se révèle à eux. C’est beau à arracher des larmes à un néo-libéral. Ce point du set leur révèle à son tour le chemin du point du match, et c’est main dans la main que nos deux héros l’empruntent sans faiblir. Plutôt que l’emprunter, il vont le prendre ce chemin, car il n’est pas question qu’ils le rendent à quiconque, et c’est sur un nuage de feu qu’ils emportent la décision, en permettant à l’équipe de partager les points avec Leforest. Un match énorme, un double mixte à montrer dans toutes les écoles de bad, sur uTube il serait numéro un, sûr. Mais bon, personne n’a filmé, ni photographié, ça restera dans nos mémoires à jamais. Ceci étant, le hold-up est en train de foirer léger...

 Verquin 1, l'Everest

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Nous voici maintenant face à l’ogre verquinois dans son antre. Les rois du simple du V.O.C. sont à nouveau alignés dans le même ordre, et c’est pas de la rumba qu’il y a dans l’air, c’est de l’électricité, pis de la nucléaire encore, celle que quand tu l’as digérée, il y a un troisième bras qui te pousse. Pec-Pec et Ricou entament leur match, et on sent qu’il y a des failles en face. Mais c’est pas le jour à Patrick. Alors qu’il mène deux fois au score dans les deux sets, il se fait rattrapper bêtement à leur issue et s’incline au final. Pour Blitz-Ric, c’est pareil en pire. En face de lui, le même gabarit, hyper tonique, zyva que je te cours partout, et que je te claque des grosses beignes. Ricou a des volants de set dans les deux sets, et pas moyen de les concrétiser ! Un stage commando à poil dans les ardennes avec un opinel, voilà ce qu’on va lui organiser j’m’excuse mais merde, parce que le Verquinois les valide ses volants de set et de matches. Du coup Ricou est dégoûté du simple et veut se mettre au double mixte. J’vous jure...

Et Guillaume dans tout ça ? Il affronte un numéro trois qui n’usurpe pas sa place. Du coup il lui met une fessée. Guillaume est en course pour devenir l’invaincu du jour, alors qu’il est au milieu d’une gastro, mais la gastro, c’est comme le gué, c’est pas au milieu qu’il faut lacher. Marie-Laure est au centre du cirque, comme une martyre avec des lions, parce qu’en face c’est du lourd, d’ailleurs personne ne mise un kopek sur elle, et il y en a même qui détournent les yeux pour ne pas assister au carnage. Et pourtant les coups, c’est Marie qui les met, et ouais. Elle fait courir son adversaire, fait parler l’intelligence de jeu (une bonne lampe de bureau, quelques coups de bottin sur la tête et un peu de privation de sommeil, et tu lui fait dire n’importe quoi à l’intelligence de jeu), et elle remporte le premier set. Enorme. Pour elle après c’est moins rose, oh cousine tu dainses ou je t’esplose ? Marie, écarlate, explose. Mais quelle bagarre, il lui manque juste un dégagé, et elle les aligne toutes les gonzesses de D3, avec ou sans jupe.

Bon c’est l’heure de mon second double de journée, avec Charlotte ce coup-ci, la dernière fois on a gagné ensemble, et ça c’est pas trop mal passé à l’entraînement. Ils sont prenables, la fille est carrément pas au niveau de Charlotte, le gars en revanche, défend bien, mais surtout, ce sont mes attaques qui sont lamentables, et au lieu de frapper sur la fille j’essaie de faire des trucs, bref mis à part braire comme un âne, je foire le match, en plus je pique les volants à Charlotte. Le pire c’est que j’ai mal nulle part, en ce moment ! Bon quatre à un, encore une rencontre de perdue. Mais il reste Jim et Jérôme pour sauver l’honneur du V.O.C.

Le premier set est ârement disputé pas les deux équipes, et il n’y a pas à dire, ils s’entendent bien les deux bougres. Jérôme nous fait un festival défensif en revers, gigantesque, face à des smashes que Patrick n’a pas su négocier en simple. Pourtant ils claquent ces smashes, je me suis même cru dans le retour du fils du masque de Zorro versus Indiana Jones en THX. Cependant notre belle paire s’incline. Par contre, ils donnent tout ensuite, et les services de Jean-Marc, et la défense héroïque de Jérôme, et leurs smashes d’ours et même des séries amorties/contre-amorties de toutes beauté pour enlever le deuxième set. Mais comme ils donnent tout dans le deuxième, ils laissent filer au début du troisième, tu les vois courir derrière ce train de marchandises qui s’appelle Victoire, il y en a un qui s’accroche sur le marchepied, qui tend la main à son partenaire, ils sont essoufflés tous les deux, mais ils s’accrochent ensemble et au moment où il hèle son ami, la main poisseuse qui tient la barre salvatrice glisse, et ils s’effondrent tous les deux sur la voie, aux mains des verquinois qui leur courrent après avec des fusils à pompe pour les lyncher, parce qu’ils ont foutu le feu à leurs maisons. Presque. Finalement ça fait cinq à un, c’est cher payé.

Bon le hold up est à l’eau, mais il nous faut encore affronter Verquin 2, contre lesquels nous n’avons jamais gagné.

 Verquin 2, la mission

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Pec-Pec affronte le petit jeunot de l’année dernière, celui-là même qui l’avait mené au bout de ses forces. Ricou veut jouer en double, c’est donc Guillaume le numéro 2, qui débute son match simultanément, contre le petit jeune qui avait battu Ricou l’année dernière, sa seule défaite en simple de l’année du reste. Donc un morceau énorme à avaler, surtout quand on souffre de problèmes intestinaux. Dans leur premier set, les pensionnaires du VOC se prennent chacun une fessée, plus sévère chez Patrick, aïe. Ca va pas le faire de repartir de Verquin sans la moindre victoire. Mais cet esprit combatif, qu’outre-Manche on n’hésite pas à appeler "fighting spirit", ne fait pas défaut à nos héros. Et les grimaces de momie à la Rascar Capac de Patrick, ah oui il est impressionnant quand il souffre, ah pis il serre tellement les dents que tu voudrais pas être à la place de son émail, déstabilisent un peu son grand gaillard d’adversaire, au point d’obtenir un volant de set mais pas de le remporter. Mauvaise journée pour Pec-Pec, trois matches trois défaites, je suis sûr que ça ne lui est jamais arrivé dans toute son histoire de compétiteur. Je ne suis pas peu fier d’avoir participé à lui avoir fait goûter cette nouvelle sensation, parce que à son âge tout ce qui est nouveau est bon.

Juste à côté Guillaume ne tremble pas au moment de concrétiser le point qui lui ouvre le troisième set. Le match est très beau à voir, je dois même vous faire une confidence, la veille, j’ai assisté à quelques matches de Nationale à Arras, et bin là, non seulement c’est un gars qu’on connaît bien, mais aussi c’est carrément plus joli à voir. Juste il manque le bzoing, bzoing de la plume, quoique c’est remplacé par les klaaaBASSSH du plastique heurté par des boyaux à 250 bars de pression. Le troisième set Mesdames, Messieurs, m’a plus fait vibrer qu’une corde sur la guitare de Rory Gallagher. Enorme, mais vraiment, autant les énorme que j’ai pu écrire juste avant était déjà bien mafflus, que ce énorme-là est gigantesque. Pourquoi ? Je vais vous dire pourquoi. Malgré une débauche technique et physique époustouflante, Guigui nous fait un remake du premier set en prenant l’eau de toute part. Il est pâle pis que le visage de notre bon roy louis le XVIè après la guillotine. A bout de souffle sans Belmondo ni Seberg, il concède pas moins de six volants de match à son talentueux adversaire. Guigui en sauve un, récupère son service et change sa manière de servir. Ce qui déstablise le verquinois. Et Guigui ne sauve pas deux, pas trois, pas quatre, mais bien six volants de match pour revenir à hauteur. Et pas des volants de merde non joués, attention des volants de folie, style pas remettables sans être attaqué derrière et quasi que des points gagnants. Et à sa deuxième occaze, le Guillaume remporte LE match de la saison. Ce qui lui permet d’inscrire deux fois son nom dans le "hall of fame" des loisirs, en étant le seul invaincu du jour et le seul invaincu en simple de la saison. Il a un mental gros comme ça, et honnêtement je pense que personne dans la salle n’aurait pu le vaincre ce jour. Il ne lui manque plus que de remporter un tournoi. Et comme il ne faut pas oublier que notre héros du jour est malade, il s’en va dégobiller à l’issue de son match. Il change Guillaume, les années précédentes, c’était au milieu du match qu’il nous déposait sa gerbe.

Pendant ce troisième set de folie, il y a quand même le simple dame qui se joue à côté, et même si j’ai pas des yeux périphériques tel le sympathique requin marteau, j’arrive tout de même à regarder Charlotte évoluer. Parce que de l’évolution, bien il y en a, en même temps chauffée à blanc par deux défaites consécutives, faut drôlement la ramener pour faire douter Lolotte. Et c’est ce que ne comprend pas son adversaire, une jeunette en jupe rentabilisée, car si elle résiste un peu dans le premier set, elle laisse filer trop de points dans le second pour ne pas laisser la victoire à Charlotte.

Le dernier simple homme oppose Pierrick et Thomas Choquet. Thomas m’a battu deux fois en deux ans en simple puis en double homme, il est pas près de me revoir en face de lui. En même temps il est en plein CAPES, et se trouve moins assidû à l’entraînement (il n’y a pas de petites informations en compétition, il n’y a pas de petites compétitions non plus, ni de petites effractions, gosh et bloody hell je me suis vendu !). Pierrick apprend à se faire confiance en assurant un premier set solide. Il nous fait des points de folie dans les deux sens, genre son adversaire est à terre avec une double fracture du péroné à dix mètres des lignes et BAM, il claque le volant dans le filet, et d’autres fois, et bin, il gagne des points. Rassuré par un premier set dans sa poche, il se fait des frayeurs dans le second, mais quand on a la confiance, il suffit d’arriver à vingt pour gagner. Dont acte. Trois à un en notre faveur, ne restent plus que les doubles, comme l’année dernière.

Un double mixte inédit Marie et Ricou représente le VOC. Entraînés comme des dingues l’avant-veille contre des pit-bulls à jeun avec des canines en kevlar, ils gardent dans leurs yeux la trace de cet affrontement, à moins que ce soit une conjonctivite. Et c’est un régal de les voir jouer, parce que tous les deux sont des attaquants, les genoux qui craquent et les volants claquent. Ils nous plient le premier set de manière magistrale. Dans le suivant, c’est plus la même musique, parce que leurs adversaires se sont sortis les doigts du fondement, et nos joyeux VOCistes sont menés quasi tout le set, et d’ailleurs, ils sauvent un volant de set pour arriver jusque vingt et quand on a la confiance, il suffit d’arriver à vingt pour gagner. CQFD. Et avec la manière. C’est la première fois que nous gagnons contre Verquin et chez eux qui plus est !

Et le double homme ? Jim et Jérôme, one more time. Et one more time, ils laissent filer les points dans le premier set pour ne pas arriver à en rattrpper suffisamment. Et one more time, ils se battent comme des lions dans le deuxième set pour le remporter de justesse, mais avec un petit plus, vers la fin ils inversent le score en leur faveur, mais bon : "si tu comptes pas tout haut attends-toi à des surprises", Lao Tseu. Et one more time dans le troisième ils laissent filer au début, tu les vois courir derrière ce train de marchandises qui s’appelle Victoire, il y en a un qui s’accroche sur le marchepied, qui tend la main à son partenaire, ils sont essoufflés tous les deux, mais ils s’accrochent ensemble et au moment où il hèle son ami, la main poisseuse qui tient la barre salvatrice glisse, et ils s’effondrent tous les deux sur la voie, aux mains des verquinois qui leur courrent après avec des fusils à pompe pour les lyncher, parce qu’ils ont foutu le feu à leurs maisons. Presque. Mais même s’ils finissent déchiquetés par des morts-vivants qui passaient là par hasard, c’est pas grave vu qu’on gagne contre Verquin 2. On remplit un de nos objectifs de ce jour. En plus ça nous permet de les passer au classement final dans la dernière ligne droite.

 En conclusion

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A suivre

 Voyons ce que donnent les chiffres

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Un nul, une défaite, une victoire.

Boulogne 3/3 Leforest
Boulogne 1/5 Verquin 1
Boulogne 4/2 Verquin 2

En détail (les victoires du VOC sont en gras) :

Boulogne SCORE Leforest
Patrick PECQUEUX 21/15 - 19/21 - 14/21
Eric STROMBONI 21/13 - 21/9
Guillaume CONTART 21/19 - 15/21 - 24/22
Charlotte VERPOORT 16/21 - 19/21
Marie-Laure H./Jean-Marc M. 19/21 - 24/22 - 21/17
Pierrick M./Jocelyn K. 18/21 - 12/21
Boulogne SCORE Verquin 1
Patrick PECQUEUX 18/21 - 19/21
Eric STROMBONI 20/22 - 21/23
Guillaume CONTART 21/12 - 21/13
Marie-Laure HUMBLOT 21/19 - 8/21 - 10/21
Charlotte V./Jocelyn K. 17/21 - 17/21
Jean-Marc M./Jérôme T. 19/21 - 21/19 - 14/21
Boulogne SCORE Verquin 2
Patrick PECQUEUX 10/21 - 20/22
Guillaume CONTART 21/13 - 17/21 - 23/21
Pierrick Mary 21/15 - 21/19
Charlotte VERPOORT 21/17 - 21/10
Marie-Laure H./Eric S. 21/13 - 22/20
Jean-Marc M./Jérôme T. 17/21 - 21/19 - 14/21